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Le Blog de OTHMAN Marwan

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20 février 2007

Les pensées d'hier

« Si vous n’étiez pas, les sentiments d’aujourd’hui sembleront les coques des sentiments d’hier »

Là, à côté de lieu de divertissement de Venus, où elle avait l’habitude d’avoir recours avec son amant Oranouse, là j’étais et je resterais pour une période inconnue, à proximité des choses dont j’ai aucune idée, je resterai. Je suis ici et là, pas entre les deux, et je n’étais point, mais je travaille sur cette affaire, et quand le soleil se lève ; je peux bien savoir ce qu’est passé la dernière nuit, voila le secret : il existe une réalité que j’ai essayé de cacher il y a beaucoup de temps ; lorsque vous voyez un lever du soleil rouge, vous devez savoir avec certitude qu’il y a plusieurs âmes qui ont quitté leurs corps sans y revenir dans la nuit précédente. Moi, je ne peux plus distinguer entre la mort et la vie, le rouge avait porté des signification nombreuses dès le début de la conscience aléatoire de l’humain, mais comment une chose de l’existence peut porter le sens et son contraire au même temps, ou est-t-elle la réalité épouvantable dont on s’enfuit ? La réalité de contradiction, la contradiction inquiétante, la contradiction bruyante, la contradiction injuste. Est-ce que vous voulez avaler des tristesses, des malheurs et des désastres de plus ? Ou est-ce que vous êtes souffrants d’une indigestion à cause d’avaler vos soucis personnels ? et vous devenez indifférents contre les soucies des outres, ceux où vous vivez à côté, ceux dont la vie est parallèle à votre, vous pensez que lorsque vous les partez ; vous laissez un grand trou que toute la joie de l’univers ne peut pas remplir, pourquoi laisser un trou, ça sera mieux si vous laissez un mont ou un gratte-ciel que chacun heurte s’il essaie de vous oublier, au lieu de regarder votre trou, laissé dans leur vie, lavant leurs pensées et leurs sensations, ils doivent regarder ce mont et s’en glorifier parce que vous êtes encore avec eux.

Demain, le temps sera sans aucune valeur, demain ne sera plus demain, demain sera insignifiant, et on ne aura pas besoin des nos horloges et nos calendriers, on ne posera pas une questionne avec «quand », et si vous l’utiliserez on s’en moquera.

Marwan OTHMAN

3 Novembre 2006

Beyrouth

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18 février 2007

L'ABUF et moi

abuf

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Bien sur je ne vais pas oublier notre association de l’ABUF qui joue un rôle très important pour enrichir la coopération entre les boursiers de l’AUF, l’idée de la création de l’Association des Boursiers de l’AUF (ABUF) est une idée magnifique et profitant pour les boursiers et même les gens ayant en partage l’utilisation de la langue française, donc ce n’est pas consacrée seulement pour les boursiers comme le son nom indique. Toutes les personne qui vont effectuer des projets, des colloques, etc. peuvent demander l’aide de l’association et certainement elle va répondre à leurs besoin selon ses ressources disponibles pour mais en essayant la plus part du temps de rester dans le domaine francophone.

Des mon arrivée au Liban l’ABUF avait organisé plusieurs activités ; par exemple, mon premier jour au Liban on a eu une rencontre pour les boursiers suivie d’un Iftar, pour le fête du Noël ; on a eu une rencontre pour le fêter, et la dernière semaine on a eu une rencontre avec les boursiers anciens avec un ordre du jour riche et c’était une bonne occasion pour faire connaitre les gens travaillants dans mon domaine d’étude.

L’objectif principal de l’ABUF est « la promotion des principes de la Francophonie, basés sur les fondements de la démocratie et le respect des droits de l’Homme, sur l’égalité et le dialogue des cultures en prenant garde a bien respecter la spécificité de chaque pays ».

Pour moi l’ABUF a joué un rôle très important par me faire connaitre beaucoup des personnes ayants en commun l’aspect francophone qu’est une chose très rare à trouver dans mon pays ‘la Jordanie’.

Vous pouvez trouvez des photos de quelques activités de l’ABUF dans les albums photos sur mon blog.

Pour plus d’information sur l’ABUF vous pouvez visiter le site web :

www.lb.auf.org/abuf

                                                                                                 

                                           

12 février 2007

Ma vie académique francophone à l’UL

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    C’est très difficile de sentir comme un étranger, comment je peux réfléchir ? Comment je peu focaliser sur toutes les nouvelletés dans ce nouvel style de vie ? ce bizarre sentiment continuerait a me suivre des le premier jour au Liban, la difficulté absolue pour moi était de s’adapter avec ce system qui était ambigu pour moi, mais les choses ont commençaient à se clarifier depuis le premier cours à l’Université Libanaise, lorsque j’ai  rencontré le doyen et il m’a rapidement expliqué les règlements, j’ai trouvé que je ne dois pas avoir peur de ce qui va arriver, le doyen est une personne gentil et très sympathique, il m’a bien acculé avec un sourire qui ne quitte jamais son visage.

Comme c’était la première fois pour moi de prendre les cours de génie en français, c’a formé un grand obstacle dans ma route francophone. J’ai fait les études en français mais dans le domaine de littérature française, mes études d’ingénierie étaient en anglais, donc j’ai fait un grand effort pour être francophone, Madame Nasser m’a toujours dit que cet obstacle va se disparaître avec le temps, et elle a certainement raison. Alors, les premiers cours étaient difficiles, pas au niveau des explications en français, mais pour apprendre les nouveaux mots techniques dans le domaine d’ingénierie.

Tous mes camarades sont libanais et donc je suis le seul étranger parmi eux, mais ils sont très modestes et sympathiques, quand je suis assis avec eux ils ne me font jamais sentir comme une personne différente ou d’autre pays, tout le temps je sens comme un individu indispensable qui fait partie d’un groupe. Il m’a pris presque deux mois pour s’adapter avec le climat, l’esprit et le système de vie au Liban ou plus précisément a Beyrouth.

Ma premier examen était une catastrophe j’ai obtenu 7.65/20, j’étais choqué et je suis arrivé à un moment où j’ai décédé de quitter le program de master et revenir à la Jordanie, mais avec le support de l’équipe du BMO de l’AUF ; j’a accepté de rester et continuer parce que comme elles m’ont dit (Madame Nasser et Mademoiselle Sfeir) c’est une chose ordinaire d’avoir des mauvaises notes au début pour les boursiers, et c’est vrai car mes notes ont commencé à augmenter linéairement. Le début de chaque nouvel chose dans la vie est difficile mais ce qu’est important est de profiter de nous fautes en les évitant et en les utilisant pour améliorer notre performance, c’est un conseil qu’on le connait tous mais ceux sont rares parmi nous qui le bien implique.

J’aimerais citer les prénoms de mes camarades au programme de Master Recherche Réseaux de Télécommunications à l’UL appuyé par l’AUF:

·         Ayman

·         Diana

·         Hassan

·         Jad

·         Joseph

·         Joyce

·         Lina

·         Lina T

·         Maher

·         Mira

·         Mirna

·         Rola

·         Savio

Vous pouvez visiter le site web de l'Université Libanaise pour plus d'informations:

www.ul.edu.lb

                                                          

6 février 2007

L'automne à Beyrouth

Tableau_de_Beyrouth

Un autre automne, et les années se passent, et cette grande quantité de l’énergie recommence à m’étouffer, une énergie qui s’accumule de façon effrayant, une énergie qui n’a pas trouvé sa route vers le monde, vers l’existence, vers la vie. Une énergie suffisante pour éliminer toute la fraîcheur qui m’entoure, une énergie que je ne pouvais pas transformer à une chose concrète, une énergie qui refuse de quitter mon corps, comme si je deviens le centre de l’univers, les allègrisses et les tristesses n’ont trouvé que mon corps pour y s’installer, une énergie dont je peux sentir l'effet chaque matin où je me revaille, une énergie qui m’a toujours rendue fatigué, et qui épuisera ce faible corps.

J’ai essayé plusieurs fois de trouver la porte par laquelle cette énergie mystérieuse rentre furtivement dans mon âme, mais chaque fois je saisis le bout de la ficelle, elle se disparaît, en laissant plus de mystères et d’ambiguïté, ce qui augmente ma crainte de perdre cette énergie à l’improviste, et m’oblige de revenir au point du zéro, quel zéro ? Existe-t-il ? L’affaire était toujours relative, tout le monde s’appuie sur le principe de la relativité, les situations, les conditions et les circonstances sont relatives, nos agissements et nos comportements sont aussi relatifs, mêmes ses résultats, nos âges, nos lois et nos principes sont totalement relatifs.

Quelle vocifération laisse cette énergie ? Quelle personne vous êtes pour avoir cette énergie tranquille ? Et est-ce que Ineshtine pouvait sentir son effet comme je peux ? Et est-ce qu’il avait conscience de la douleur et de la souffrance qui accompagnent telle énergie ?

Je n’ai pas anticipé que Michelle Nouaymah va détourner la tête de moi, quand j’étais à Baskanta, ou est-ce que les circonstances de sa ville ont changé ? Quel errant je suis dans une mer infinie, et quelle mer qui n’est plus démontée et troublée, et quels eaux elle a, des eaux qui n’acceptent que de porter mon bateau. Est-ce que le jour, où je vais enlever ce fardeau de ma poitrine, existe ? Je ne demande que ma poitrine soit vide pour un moment, un seul moment, un court moment.

C’est seul l’automne qui ne se soumet pas au principe absurde de la relativité, et c’est moi seulement qui va continuer à chercher la route non relative dans ma vie modeste, mais sans arriver à  la fin y relative.

Marwan OTHMAN

Beyrouth

10 décembre 2006 

4 février 2007

Ma Première Réunion avec l’ABUF *

ifatarO6_10Le 4 octobre l’ABUF a organisé une réunion et un Iftar, c’était le deuxième jour pour moi au Liban, et c’était une bonne occasion pour moi pour rencontre les autres boursiers du BMO, j’étais très content de rencontrer des gens libanais boursiers comme moi, au premier lieu j’avais peur de ne pas être accepter par les autres, comme je suis le premier boursier international qui arrive au Liban, mais tous a passé bien, Mirande m’a encouragé de parler avec eux, et de leur demander l’aide pour chercher un logement proche de l’université, mais la vérité est que j’avais honte de parler avec des gens que je ne connais pas, ils ont remarqué ça, alors ce sont ils qui ont commencé le parole, et finalement ça déroulait d’une bonne manière.

L’ABUF joue un rôle très important pour soutenir les boursiers et les aide dans le domaine de ses vies académiques. Il y a une réunion organisée par l’ABUF chaque mois, pour discuter des différentes tâches liées à la vie francophone au Liban, en travaillant sur plusieurs sujets de développement du Liban.

Apres la réunion on a accédé au café français pour manger le repas de l’Iftar, c’était une bonne occasion pour goûter quelques plats libanais, l’expérience était nouvelle et brillante.

N.B. : Vous trouvez des photos de la réunion et l’Iftar dans l’album des photos.

*ABUF : Association des Boursiers de l’AUF

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2 février 2007

L’arrivée au Liban

welcomeJe rappelle bien le jour où j’ai reçu l’acceptation de ma bourse de côté de l’AUF, j’étais au travail, et c’était une longue journée, j’ai accédé à l’Internet pour savoir si j’avais des messages, c’était une surprise magnifique que je n’ai plus attendu, parce que la situation politique au Liban n’était pas confortable après la guerre de juillet, et les gens à l’AUF n’étaient pas chez eux. Mais malgré tous ça ; j’ai resté en contacte avec Madame Emmanuelle Nasser, alors j’ai devenu un boursier et j’ai commencé à réfléchir comment de continuer mes études en Master Recherche Réseaux de Télécommunications, c’était en fin de septembre 2006, et les études commence à 9 octobre, donc je n’avais que une semaine pour me préparer et partir au Liban.

Je suis arrivé à l’aéroport de Beyrouth en 3 octobre 2006 à 19h00, c’était ma première fois à Beyrouth, il y avait un taxi qui m’attend avec une papier avec mon nom y écrit, il m’a amené à l’IFPO où Mademoiselle Mirande Sfeir m’a réservé une chambre, j’étais confus et fatigué donc j’ai dormi directement, et le jour d’après il m’attendait une longue journée.

Le jour d’après je me suis réveillé, je me suis préparé et j’ai accédé au BMO de l’AUF qui se situe en face de l’IFPO, Madame Nasser et Mademoiselle Sfeir m’attendaient, elle sont très sympathiques, et elles ont commencé à m’expliquer les choses nécessaires, elles m’ont donné un plan de Beyrouth, et elles ont essayé de m’expliquer tous : comment de prendre une service ou un taxi, comment d’aller à l’université, comment faire dans les situations difficiles, comment de chercher un foyer, etc.

Après ça, Mademoiselle Sfeir m’a représenté a touts les gens travaillants au BMO, et elle m’a dit que si j’ai besoin de n’importe quelle aide, ils seront disponibles.

Moi, je ne sais pas comment d’agir sans leurs aides, ils ont très gentilles, et je les remercie toujours. Le soir, il y avait une réunion pour les boursiers du BMO (ABUF) avec un Iftar après cette réunion, je vous parle de ce Iftar dans l’article suivant.

1 février 2007

Le Monde De La Francophonie

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